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Après les élections du 20 Juin 1976 en Italie, le gouvernement Andreotti se forme, qui s'appuie sur la "non-méfiance programmatique" du parti communiste. Avec ce gouvernement commencent les années, sinistres, de l'unité nationale. C'est dans cette période que le Pci révèlera toujours mieux son propre rôle de colonne portante du régime. La motion politique du Congrès de Naples saisit pleinement cet élément nouveau et essentiel de la vie politique italienne et dénonce comment le Pci, malgré le succès électoral, est désormais incapable d'avoir une politique alternative quelconque. Pour battre cette tendance, il est nécessaire de recourir aux référendums. Le Congrès confirme la validité du projet de référendum comme unique lien possible d'une politique d'alternative contre le compromis concordataire. Si cela est la donnée centrale de la motion, un rappel des autres luttes et initiatives ne manque pas, surtout pour celles de l'avortement. La motion d'organisation, enfin, pourvoit à traduire en indications opérationnelles, la décision du précédent congrès de procéder à la construction des partis régionaux. Le Congrès élit Adelaide Aglietta secrétaire, et Paolo Vigevano trésorier.
Le XVIIème Congrès national du PR dénonce dans les faits des dernières années, la confirmation que la cause particulière de la très grave crise économique et sociale que le pays traverse, réside dans la crise de l'Etat corporatif et fasciste, que la démocratie chrétienne continue à défendre aujourd'hui encore avec l'aval des partis de la gauche historique; les mesures économiques annoncées par le gouvernement feront payer encore à la classe ouvrière et aux classes les plus démunies, le coût de cette crise, en l'absence d'un débouché politique qui puisse en assurer le dépassement; la révolte, que souvent l'on adresse même en formes corporatives aux syndicats, naît de la défiance, ou plutôt, de la lucide et desespérée certitude qu'avec l'actuelle stratégie de la gauche, la crise se prolongera et s'aggravera, en imposant de plus grands sacrifices et en produisant un chômage plus grand, des conditions de vie bien pires, des coûts sociaux intolérables, et elle se traduira par de nouvelles formes de capitalisme de rapine, de nouvelles injustices sociales, des absences de perspectives pour les jeunes, dans un véritable massacre des classes les plus démunies et les plus marginales. Toujours plus clairement et plus dramatiquement, chaque politique de cogestion interne à la logique du régime, est destinée à se tourner contre la gauche et contre les syndicats et peut transformer en désespoir et défiance les grandes espérances alternatives qui, aux dernières élections s'étaient tournées vers le Pci. Il apparaît toujours plus évident que c'est là le but qu'avec le gouvernement Andreotti, la Dc de Moro et de Zaccagnini, de Galloni et Donat-Cattin, se propose d'atteindre. On ne peut pas faire d'hypothèses sur une nouvelle manière de gouverner sans un gouvernement alternatif de la gauche qui assume directement les responsabilités du pays. Toute autre hypothèse transitoire, dans tous les cas, ne pourrait pas ne pas se fonder sur l'unité et la force de toute la gauche. Elle ne peut non plus donner de solution à la crise sans détruire l'énorme appareil de structures corporatives et non-productives, parasitaires, qui constituent le tissu du régime et qui représentent un noeud coulant au cou, non seulement pour l'économie italienne mais aussi pour la démocratie républicaine-même. Politique de mise en marge à gauche des forces considérées gênantes, aucune perspective de programme commun alternatif, recherche à tout prix de compromis concordataires de pouvoir sur les problèmes institutionnels de l'Etat, sur les garanties de liberté et sur les droits civils; ce sont-là les aspects et les erreurs les plus graves de la politique communiste dont le Psi, hélas, fait preuve de co-responsabilité. Comme il y a trente ans, la gauche se retrouve face à un choix et à une opportunité historique: changer totalement la société ou participer et prendre la responsabilité de la restauration d'un Etat corporatif, différent dans sa forme extérieure mais identique dans sa substance. Le Congrès du PR considère que les luttes pour la transformation de l'Etat et l'affirmation des libertés civiles, doivent rester centrales pour ouvrir la perspective d'une société plus juste et plus humaine. Le Congrès considère que la tâche prioritaire du PR doit rester celle de porter à l'achèvement, les luttes entreprises depuis des années contre les structures, et les lois fascistes pour la réalisation complète de la Constitution. Validité du projet de référendum Le recours, encore une fois, au référendum populaire abrogatif, apparaît comme l'unique instrument pour poursuivre et imposer le contrôle sur les thèmes de l'abrogation du Concordat, de la loi Royale, du code Rocco dans ses normes illibérales qui prévoient encore les délits syndicaux et d'opinion, de la loi sur le financement public des partis et sur les autres normes et lois également autoritaires et fascistes, et d'au moins un des deux référendums militaires (ordre juridique et code pénal). Seulement avec le consensus populaire, exprimé à travers des millions de signatures de communistes, de socialistes, de croyants, de démocrates qui ne se résignent pas au compromis concordataire comme à un destin inéluctable, il sera possible d'empêcher que dans cette législature, la Dc ne crée les prémisses pour renverser les succès de la gauche, bloquer toute volonté et toute possibilité d'alternative, de renouveler et de consolider son propre pouvoir. Le Congrès donne mandat au Conseil fédératif de définir sur les bases résultantes de la Ière Commission du Congrès, le nombre et le contenu des référendums qui doivent comprendre ceux qui sont explicitement cités dans cette motion. Le Congrès donne mandat au secrétariat, aux partis régionaux, aux radicaux, d'assurer les conditions politiques et d'organisation pour garantir la réalisation de ce projet. Le Congrès adresse un appel aux travailleurs en lutte, aux organisations de base, aux militants des partis de gauche afin qu'ils donnent un débouché politique à leurs luttes, en contribuant au succès du programme indiqué et en créant ainsi les prémisses d'un affrontement avec le régime Dc. Mobilisation pour l'Avortement Le Congrès dénonce le grave danger couru par la lutte pour l'avortement libre et gratuit, de se conclure par une loi inadéquate pour résoudre le problème de l'avortement clandestin, destinée, au contraire à le reproposer et à l'aggraver. Ce danger ne naît pas d'un impossible compromis entre la Dc et la gauche, mais du manque de clarté de la gauche qui découle de sa volonté d'éviter à tout prix une intransigeante et claire confrontation politique et idéale avec la Dc. La lutte pour l'avortement libre et gratuit n'est pas encore terminée. L'avortement clandestin clérical et de classe n'a pas encore été vaincu, la désobéïssance civile est encore nécessaire. Le Congrès du PR considère également que la gravité et l'urgence de la crise économique, sociale et institutionnelle, l'ampleur de la crise du bloc électoral socialiste, constatée aux élections du 20 Juin, la réponse insuffisante du Psi aux propositions du PR, la lenteur des processus de renouvèlement de ce parti, rendent désormais les temps, courts, et la tâche du PR ne peut-être différée, de contribuer directement au processus de renaissance et d'affirmation d'une grande force socialiste et libertaire. Une contribution essentielle doit venir aujourd'hui de l'antagoniste radical, si l'on veut que les prochaines luttes, des prochains mois, pour l'affirmation des libertés et des droits civils, décisifs pour la naissance du protagoniste socialiste de demain, aient du succès. Il est urgent en particulier de se fixer l'objectif de réelles et profondes réformes des structures sociales et institutionnelles de l'Etat. Une tâche d'élaboration et de débat pour localiser les propositions, les programmes et les instruments des initiatives du parti qui assume le rôle et les fonctions prévues par le statut, pour la première fois favorisées par les conditions objectives de croissance et d'organisation du parti. Les radicaux sur le terrain de l'économie refusent de chercher et de donner une réponse idéologique univoque et totalisante. Avec leurs méthodologies typiques ils procèdent à l'identification des problèmes et ils en recherchent, spontanément, de manière autogestionnaire, la solution. Déjà, le débat du congrès a fait ressortir de nouvelles idées, qui, même si elles sont encore à l'état embryonnaire et sans maturité théorique et sans prémisses d'organisation, représentent cependant le potentiel de nouvelles luttes. Comme, par exemple, pour les propositions de constituer "Unions et Syndicats de consommateurs" qui ont poussé un peu partout; pour les propositions de lutte contre la pollution et sur les problèmes économiques et de promouvoir et aider des formes alternatives et autogérées de production (coopératives de production et de travail, coopératives de consommation) et autres. Comme aussi pour les hypothèses de référendum qui ont pour objet des thèmes et des problèmes attenants à l'économie: la Caisse pour le mezzogiorno, l'abolition du secret bancaire, etc... Tandis que par rapport aux premières, l'attitude du parti ne peut-être que tournée à favoriser l'expérimentation et l'organisation autonome, et autour d'elle le débat et l'information, dans le but d'acquérir une plus grande capacité théorique et d'organisation, par rapport aux secondes, le parti doit prendre en charge l'étude concrète des possibilités d'approfondissement et de réalisation, ainsi que les instruments les plus opportuns. Autogestion des luttes Mais surtout ces propositions sont confiées à l'autogestion des camarades qui se chargent de ces luttes, qui constitueront autour de ces luttes, des Ligues et des Organisations fédératives selon les indications du statut. Les ligues et les mouvements fédératifs et en particulier le Mld, le Fuori, le Cisa, la Loc, auront dans l'oeuvre du Conseil fédératif, un rôle essentiel. Le Congrès prend acte des problèmes posés par les camarades du Mouvement de libération de la Femme, par des choix et des volontés qui sont à la fois féministes et radicaux, qui doivent-être résolus dans le cadre d'un fonctionnement correct du rapport et des organismes fédératifs, et dans ce cadre il donne mandat au Conseil fédératif de concorder avec le Mld, les engagements et les initiatives pour les collectes des signatures des référendums et du projet de loi sur la parité de condition de la femme, contenu dans la charte des libertés. Le Congrès adresse ses remerciements sincères aux camarades du Cisa et en particulier aux camarades de Florence et de Bologne, qui ont connu encore une fois le chemin de la prison, payant de ce prix une activité de désobéïssance civile, qui a été une fois de plus, l'arme la plus efficace contre l'avortement clandestin clérical et de classe. Le parti s'engage en outre à se mobiliser pour la libération du camarade Giorgio Conciani, contre lequel s'est acharné la volonté persécutrice de la magistrature florentine, déjà dénoncée par le PR et par le Cisa au Conseil supérieur de la Magistrature. Le procès doit avoir lieu tout de suite et Conciani doit-être libéré immédiatement. Le Congrès donne mandat aux secrétariats et au parti régional de la Toscane d'organiser une manifestation nationale dans les quinze prochains jours, dans laquelle doivent s'engager toutes les associations et tous les militants radicaux. En ce qui concerne le Fuori, qui avec le Mld a présenté un projet tendant à la constitution de centres de consultation autogérés, le Congrès en prend acte et engage le parti à soutenir ces initiatives. En ce qui concerne la Loc, le Congrès donne mandat aux organes du parti, de soutenir les initiatives et, sur le terrain plus vaste de l'antimilitarisme, d'assurer la continuation et le développement, l'année prochaine, de la première marche internationale antimilitariste. Le Congrès prend acte que, de plusieurs côtés, on a avancé durant son déroulement, des instances de participation aux batailles antimilitaristes et il engage le parti à les soutenir, chaque fois que l'occasion s'en présentera. Dans tous ces problèmes et sur la politique générale antimilitariste du parti, le Congrès considère que l'on doit ouvrir dans le parti tout entier, à partir du Conseil fédératif, un ample débat. Le Congrès enfin, adresse ses salutations aux camarades des autres mouvements et en particulier à ceux de formation nouvelle, comme le Carm, le Fri, le Clec, et il engage le Conseil fédératif à mener à bien le rapport fédératif, et il l'engage à en évaluer et en approfondir les projets de réformes législatives proposés par les camarades, depuis les projets relatifs jusqu'à l'abolition de la loi sur les asiles d'aliénés avancée par le Carm, à ceux sur la censure, du Clec et à la réalisation des lois pour les handicapés, objet des luttes du Fri. Le Congrès, enfin, face aux prochaines échéances électorales, considère, qu'en tenant compte des engagements prioritaires des luttes radicales, on ne doit pas présenter, au cours de 1977, des listes électorales du parti, aux élections universitaires, circonscriptionnelles, communales et provinciales partielles, qui se déroulent au cours de l'année et adresse dans ce sens, un appel aux partis régionaux et aux associations locales, sans exclure une contribution originaire du parti dans le contexte des situations locales spécifiques. Nonviolence, désobéïssance civile Le Congrès, ensuite, considérée la progressive diffusion des dérivés du chanvre indien, l'extension du phénomène de l'héroïne avec ses conséquences quelques fois mortelles, la recrudescence de la répression à l'égard des consommateurs de chanvre indien (en particulier les cultivateurs d'herbe, à usage personnel, qui, avec la loi actuelle sont punis, comme les grands producteurs), repropose avec urgence, la nécessité de l'analyse du phénomène. Il engage également le parti à promouvoir des formes de lutte radicales, nonviolentes et de désobéïssance civile (autodénonciation, détention et cultivation de chanvre indien, occupation symbolique de manufactures de tabac de l'Etat), dans le but de solliciter la proposition et l'approbation des amendements à la loi 685. Le Congrès recommande en outre aux associations radicales de promouvoir la constitution de centres de consultation, d'information et d'assistance légale. Le Congrès rappelle enfin à tous les camarades, que la désobéïssance civile est la méthode constitutive de l'action radicale et il invite tous les camarades à se mobiliser en des actions exemplaires, dans les lieux où cette méthode se révèle féconde de résultats. En Décembre les premières échéances Etant donnée l'importance de l'initiative de référendum, on invite les organes du parti à promouvoir, comme il ressort des travaux de la IIème Commission du congrès, une première conférence politico-administrative à caractère national avant le mois de Décembre 1976, afin de préparer et mobiliser le parti dans des temps très courts, qui sont nécessaires au lancement politique et à la réalisation du projet-même des référendums. Le Congrès souligne en particulier que l'engagement contre le Concordat naît de toute la tradition anticléricale du parti radical et il dédie cette lutte, vraiment unitaire pour toute la gauche, à Ernesto Rossi, dont le Xème anniversaire de sa mort sera commémoré l'année prochaine, pour le rappeler à tous les radicaux anciens et nouveau, à tous les citoyens, mêmes catholiques, qui souffrent et payent de leur propre personne leur dissension et leur recherche de liberté. Le Congrès confirme que le problème de la sexualité est déterminant pour la définition d'une meilleure qualité de la vie, à la base des méthodes radicales-mêmes de luttes nonviolentes et lié à l'expansion de l'activité individuelle et sociale, et engage le secrétariat national et le Conseil fédératif à promouvoir pour l'année prochaine, une troisième Rencontre nationale pour la libération de la sexualité, en adressant une invitation particulière aux jeunes, aux enseignants, aux parents libertaires pour une mobilisation qui doit nécessairement engager le monde de l'école. LA MOTION D'ORGANISATION Le XVIIème Congrès du PR, convoqué à Naples, les 31 Octobre, 1er, 2, 3 et 4 Novembre 1976, Entendues les relations du Secrétaire sortant Gianfranco Spadaccia et la relation récapitulative des travaux de la IIème Commission du congrès (état et organisation du parti), Examiné l'état du parti qui peut-être ainsi résumé: a) constitution établie de treize partis régionaux fonctionnant et pourvus d'organes statutaires:
b) constitution de trois comités régionaux régulièrement constitués dans les régions Ombrie, Abruzzes et Sardaigne, c) réalisation de trois réunions préliminaires de sondage dans les régions Molise, Basilicate et Calabre, d) présence des groupes fédérés Mld, Loc, Cisa, Fuori, Mouvement Libéral Démocratique, Carm et Fri. Considéré que, du débat du congrès, deux directrices fondamentales de nature organisatrice sont ressorties: - l'organisation de la campagne de collecte des signatures pour la présentation des requêtes d'un paquet de référendums à fixer pour le printemps prochain; - la résolution du problème fondamental de la circulation des idées, qui à l'intérieur d'un parti libertaire et autogéré ne se limite pas à l'information mais devient aussi l'instrument de la formation politique des militants, des réalités associatives sur les thématiques d'initiatives et de luttes; Considéré en outre comment ces deux points présentent dans les perspectives de travail politique pour 1977, une convergence considérable pour la nécessité que la campagne de référendum soit affrontée dans toutes ses articulations par le plus grand nombre possible de militants; Considérée la nécessité: 1) de préciser les directives de l'autofinancement et de l'inscription au parti en relation à la dépense minimum du parti prévue de 750 millions de Lires , répartie de la manière suivante: - 150 millions pour la gestion ordinaire du Parti - initiative politique des référendums pour laquelle on peut prévoir 600 millions distribués de cette façon: - a) dépense pour installation: 300 millions (250 millions pour l'équipement des points de collecte, 50 millions pour imprimer les formulaires et les expéditions); - b) dépense de campagne politique: 300 millions. Il faut souligner que les dépenses de gestion ordinaire du parti doivent-être couvertes par les inscriptions et les contributions des inscrits et des sympathisants, et préciser que l'inscription prend effet à l'approbation de la motion du Congrès 1976 et se termine à l'approbation de la motion du Congrès de 77; 2) de rappeler le rôle central que dans un parti libertaire le Conseil fédératif joue en tant qu'organe: - de représentation politique entre un congrès et un autre; - de gestion politique à l'intérieur du parti, en s'articulant dans la réalisation des devoirs fondamentaux de préparer le Congrès et d'assurer la circulation des idées à l'intérieur du parti dans les significations précisées ci-dessus; 3) de substituer dans le statut le vieux symbôle du parti par le nouveau adopté aux récentes élections; délibère: 1) la cotisation de la carte reste fixée à 15.000 lires et elle sera versée entièrement au parti fédératif là-où l'inscription est effectuée par le siège national, et elle sera affectée pour les 2/3 au parti fédéral, dans le cas d'inscription effectuée par les associations radicales ou par les partis régionaux. On considère inscrits tous ceux qui auront versé la cotisation en entier, avec un premier versement minimum au moment de l'inscription de 5.000 lires. La campagne de l'inscription, pour en stimuler au maximum l'efficacité productive, sera concentrée en deux tours, le premier aux mois de Décembre et Janvier, et le second, aux mois de Mai et Juin. 2) Les organes statutaires du parti s'occuperont, avec l'imprimerie et la diffusion de Notizie Radicali (à expédier aux inscrits tous les 10 jours) et de N.R. Agence (à expédier aux partis régionaux, tous les jours), de la promotion d'un grand débat à l'intérieur du parti, avec une référence particulière à la campagne pour les référendums. 3) Pour l'organisation de la collecte des signatures, il sera constitué: - Un comité national de coordination, dont feront partie le secrétaire, le président du conseil fédératif et autres inscrits au PR, des membres de la commission, pourvu d'un bureau ad hoc pour la réalisation des réalisations techniques; - un comité de coordination pour chaque région; - plusieurs comités locaux pour la collecte des signatures qui consisteront en deux moments techniques essentiels de la collecte en des lieux fixes et de On prendra particulièrement en considération, pour une mise en route plus efficace de l'initiative des référendums, toutes les formes de manifestations selon la tradition spécifique du parti d'initiative et de lutte; l'utilisation de la Rai-TV et des radios et télévisions libres; les accords éditoriaux avec les quotidiens et les revues. 4) De substituer dans le Statut, le symbôle du parti "tête de femme avec bonnet phrygien" par le symbôle de la "rose dans le poing".
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